| Le Conseil national, tout comme Le Centre ont rejeté hier l’initiative pour une 13ème rente AVS. Avant de procéder à d’autres adaptations de l’AVS, il faut d’abord éliminer les discriminations criantes que subissent les couples mariés depuis trop longtemps en matière de rentes. C’est précisément pour résoudre cette situation que Le Centre a lancé son initiative « pour des rentes équitables également pour les couples mariés ». |
| L’AVS est l’institution sociale la plus importante de notre pays. Dans le cadre de la réforme de l’AVS, Le Centre s’est fortement engagé pour une solution qui permet aux générations actuelles et futures de bénéficier de rentes sûres et solides. Mais avant de développer davantage l’AVS, il faut d’abord éliminer les discriminations en matière de rentes que subissent, depuis trop longtemps, les couples mariés. Aujourd’hui, le régime de l’AVS limite le versement des rentes pour les couples mariés. Ces derniers reçoivent au maximum 150% du montant maximal. Et ce même s’ils ont versé l’intégralité de leurs cotisations tout au long de leur vie. De leur côté, les couples non-mariés reçoivent jusqu’à 200% du montant maximal d’une rente AVS. C’est une vraie injustice! Le fait d’être mariés ne peut et ne doit pas être un motif de discrimination. Or, selon les chiffres de la Confédération, 9 couples mariés sur 10 sont concernés par cette situation. « Avant de procéder à d’autres adaptations de l’AVS, les discriminations des couples mariés doivent d’abord être corrigées », déclare la conseillère nationale du Centre Marie-France Roth Pasquier. |
« Avant de procéder à d’autres adaptations de l’AVS, les discriminations des couples mariés doivent d’abord être corrigées. » Marie-France Roth PasquierConseillère nationale (FR) et membre de la présidence du Centre |
| Le plafond pour les couples mariés doit être supprimé Pour mettre un terme à cette discrimination, Le Centre a lancé l’initiative « Oui à des rentes AVS équitables pour les couples mariés ». L’initiative du Centre demande que le plafonnement de 150% actuellement en vigueur pour les couples mariés soit entièrement supprimé. C’est une question d’équité et de cohésion sociale. « L’égalité de traitement pour tous les couples dans l’AVS, indépendamment du modèle de vie choisi, doit être une priorité », poursuit Marie-France Roth Pasquier. |
| Équité pour tous les couples – Signez 2 fois nos initiatives! Celui qui veut se marier doit pouvoir le faire, sans subir aucune discrimination. Le choix du modèle de vie doit être laissé aux couples. Ce n’est qu’avec nos initiatives pour des impôts et des rentes AVS équitables également pour les couples mariés que nous parviendrons à l’équité et l’égalité de traitement pour tous les couples – indépendamment du modèle de vie choisi. Engagez-vous avec nous en faveur de l’équité pour tous les couples. Votre engagement est maintenant décisif. |
« Avant de procéder à d’autres adaptations de l’AVS, les discriminations des couples mariés doivent d’abord être corrigées. » Marie-France Roth PasquierConseillère nationale (FR) et membre de la présidence du Centre
« La pleine compensation des rentes AVS au renchérissement est une contribution importante à l’équilibre social et à la protection du pouvoir d’achat. » Philipp Matthias BregyPrésident du groupe parlementaire du Centre SuisseUn pas important vers un contrôle efficace des coûts de la santé
« Aujourd’hui, les prestations médicales fournies en ambulatoire et en stationnaire sont financées différemment. Cette situation conduit à de mauvaises incitations financières. C’est l’indication médicale qui doit être déterminante pour le type de traitement, et non son financement. » Ruth HumbelConseillère nationale (AG)L’augmentation effrénée des primes n’est que le reflet de la hausse des coûts de la santé. Ce n’est qu’avec des mesures efficaces contre l’augmentation des coûts que nous pourrons garantir un système de santé de qualité, accessible à tous et à un prix abordable. Avec
« L’abaissement du seuil d’entrée et l’adaptation de la déduction de coordination permettront d’améliorer la situation de prévoyance des personnes à bas revenus et à temps partiel. De nombreuses femmes sont concernées et c’est pour elles que je m’engage. » Isabelle ChassotConseillère aux Etats (FR)Une mise en œuvre nécessaire de la réforme fiscale de l’OCDE